L'Introduction
Les chansons classiques malgaches sont des morceaux de musique qui datent aux minimums des années cinquantes. La plupart de ses musiques sont consérvées dans l'actuelle Radio Nationale Malagasy. Aujourd'hui, dans la musique de madagascar, le kalon'ny fahiny est notre sujet de discussion. D'ou vient cette forme de musique? Quels sont ses impacts dans la musique de madagascar? Et son évolution dans la culture malgache est-elle menacée?
D'ou vient cette forme de musique?
Kalon'ny fahiny la musique d'hier est une forme de musique chantée en malgache par des grands anciens artistes malgaches. La plupart des rythmes de cette musique est calquée par la chanson française mais elle est adaptée à la sauce malgache. Ce que les grands artistes anciens Malagasy appelent générallement le Bà-gasy le ryhtme de musique française mais readaptée au feeling Malgache. Cette vieille musique malgache a toujours la côte au près de toutes les générations succèssives. Kalon'ny fahiny parle de l'amour. Les textes toujours sont très simples et bien clairs. Cela rappelle toujours l'âge d'or du théatre malagasy des années vingt et trentes.
La particularité de ce genre est aussi un rythme qui n'est influencé à aucun courant musical international. Le Bà-gasy le rythme malgache trouve toujours sa place depuis son invention au début de la colonisation aux vingtième siècles jusqu' au aujourd'hui au sein des mélomanes gasy par les artistes malagasy. On peut d'ailleurs clâmer fort que le Kalon'ny fahiny a très bien traversé les vagues des musiques internationales pendant toutes les époques à Madagascar.
Quels sont ses impacts dans la musique de madagascar?
Le Kalon' ny fahiny est surtout très populaire dans l'Imerina à l'ancienne province d'Antananarivo. Même la diaspora malgache adore cette forme de musique. Toutes régions côtières de Madagascar ont leur propre musique. Dans l'Imerina, généralement, les gens ne dancent pas ce genre de musique. Mais, tout le monde écoute avec le coeur et chante avec l'artiste. Les instruments de musiques que les artistes utilisent sont toujours simples et ce genre ne nécéssite pas beaucoup de musiciens. Le piano, le contre-basse, le violon et le tambour feront l'affaire. Le rythme est lent et le chanteur ne bouge presque jamais. Il se contente de bouger lentement son bras pour faire un geste convenant au texte de sa chanson. C'est probablement à cause de cette facilité que ce genre de musique vit toujours.
Le Kalon' ny fahiny est surtout très populaire dans l'Imerina à l'ancienne province d'Antananarivo. Même la diaspora malgache adore cette forme de musique. Toutes régions côtières de Madagascar ont leur propre musique. Dans l'Imerina, généralement, les gens ne dancent pas ce genre de musique. Mais, tout le monde écoute avec le coeur et chante avec l'artiste. Les instruments de musiques que les artistes utilisent sont toujours simples et ce genre ne nécéssite pas beaucoup de musiciens. Le piano, le contre-basse, le violon et le tambour feront l'affaire. Le rythme est lent et le chanteur ne bouge presque jamais. Il se contente de bouger lentement son bras pour faire un geste convenant au texte de sa chanson. C'est probablement à cause de cette facilité que ce genre de musique vit toujours.
Les artistes de Kalon'ny fahiny sont des passionés de chansons anciennes malagasy. Ils ne sont pas des professionnels de la musique à la hauteur des autres chanteurs malagasy connu intèrnationalement comme Jaojoby, Rossy... Quand ils font des concerts, ils sont obligés de faire leur spéctacle dans un endroit plus réduit.
Le Kalon'ny fahiny ne reste pas uniquement à Antananarivo et ses environs, beaucoup de chanteurs de cette musique ont parcouru toutes les régions de Madagascar pour montrer cette richesse de la culture malagasy. Au début, les côtiers sont étonnés par les gestes du groupe Nanahary. Il chante des tubes lentes, il ne bouge pas, il ne dance pas, mais il se contente de bouger lentement le bras comme s' il veut montrer quelques choses que le public ne voit pas. Il a été exporté aussi dans certaine grande ville en Europe. Certains artistes europèens aussi savent jouer le Kalon' ny fahiny en musique avec les artistes malagasy. Les régions de Madagascar chantent toujours le kalon'ny fahiny et dans toutes les régions on l'appèle hira vako-drazana. Mais cette forme de musique est dansée. Et la plupart des chanteurs sont en groupe de femmes avec des instruments traditionnels. Dans la culture malagasy, l'influence de cette forme est immense chez les jeunes artistes. Cette musique rappèle toujours aux artistes la nécéssité pour eux de s'identifier par leur spécificité et leur origine. L'invention du Bà-gasy au vingtième siècles était la genèse de cette identité. La valeur inéstimable de l'Art malagasy prime sur tout.
Et son évolution dans la culture malgache est-elle menacée?
Le kalon'ny fahiny est toujours apprécié par les Malgaches. Il est l'une des forme de musique de madagascar dont les jeunes artistes nationaux perpétuent la passion. Malgré tous les courants musicaux apportés par les hautes vagues de la culture occidentale, cette musique malgache s'en sorte pas mal quand même. Les politiques ont utilisé le Kalon'ny fahiny lors de certaines visites officielle dans les provinces. Mais le plus éloquent était lors du retour du Président Ratsiraka de son éxil volontaire en France en Septembre 1996 à Madagascar. Dès son sorti de l'avion, il a chanté "Iray minitra monja tsy eo anilanao toy ny zato taona ..." une minute seulement loin de toi c'est comme un siècle ... Cette chanson appartenait à Naly Rakotofiringa, chantée par Ossy en 1962. Cette culture malgache suit son chemin sans tremblement ni peur.
Le kalon'ny fahiny est toujours apprécié par les Malgaches. Il est l'une des forme de musique de madagascar dont les jeunes artistes nationaux perpétuent la passion. Malgré tous les courants musicaux apportés par les hautes vagues de la culture occidentale, cette musique malgache s'en sorte pas mal quand même. Les politiques ont utilisé le Kalon'ny fahiny lors de certaines visites officielle dans les provinces. Mais le plus éloquent était lors du retour du Président Ratsiraka de son éxil volontaire en France en Septembre 1996 à Madagascar. Dès son sorti de l'avion, il a chanté "Iray minitra monja tsy eo anilanao toy ny zato taona ..." une minute seulement loin de toi c'est comme un siècle ... Cette chanson appartenait à Naly Rakotofiringa, chantée par Ossy en 1962. Cette culture malgache suit son chemin sans tremblement ni peur.
La Conclusion
En conclusion, le Kalon'ny fahiny est vieux mais il est toujours apprécié par les Malagasy. Les générations des Malgaches estiment toujours que le kalon'ny fahiny est une culture de madagascar. Cette valeur est une affirmation d'une forme d'identité que les Malgaches en ont fier. Cette musique malgache est toujours jouée par les jeunes générations de chanteurs afin de continuer à perpétuer la tradition. Certains artistes ont essaié de la moderniser. C'est tant mieux, mais quand il est devenu moderne est-ce qu'il est toujours aimé? Le Vako-drazana la musique des ancêtres est joué dans toutes les régions de Madagascar. Ce rythme est la version côtière du Kalon'ny fahiny. Est-ce l'introduction des instruments éléctriques fait garder la richesse de ce rythme ou le faire disparaître? Kintana Telo, Nanahary, Henri Ratsimbazafy, Naly Rakotofiringa, Mama Bako, et tant d'autres sont les gardiens de cette tradition. Je les respecte...
En conclusion, le Kalon'ny fahiny est vieux mais il est toujours apprécié par les Malagasy. Les générations des Malgaches estiment toujours que le kalon'ny fahiny est une culture de madagascar. Cette valeur est une affirmation d'une forme d'identité que les Malgaches en ont fier. Cette musique malgache est toujours jouée par les jeunes générations de chanteurs afin de continuer à perpétuer la tradition. Certains artistes ont essaié de la moderniser. C'est tant mieux, mais quand il est devenu moderne est-ce qu'il est toujours aimé? Le Vako-drazana la musique des ancêtres est joué dans toutes les régions de Madagascar. Ce rythme est la version côtière du Kalon'ny fahiny. Est-ce l'introduction des instruments éléctriques fait garder la richesse de ce rythme ou le faire disparaître? Kintana Telo, Nanahary, Henri Ratsimbazafy, Naly Rakotofiringa, Mama Bako, et tant d'autres sont les gardiens de cette tradition. Je les respecte...
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