Introduction
Je ne vais pas parler du cancer rare au sens propre du terme ici. Mais, je vais vous amèner à un type de cancer qui ronge la société Malgache actuellement. La raison, c'est que je ne trouve pas pour l'instant la connection directe entre musique Gasy et cancer rare. Donc, le choix de la musique et cancer rare de la société se basent uniquement sur un problème socio-économique malgache.
Je vais définir ce mot qui est devenu universel dans le monde. Afin d'obténir n'importe quel service publique, le public 'doit' soudoyer les fonctionnaires civils et militaires de l'État. C'est dans le rouage de l'Administration de l'État Malgache que la corruption fait rage. Sans 'écolage' de la part du public, il n'y a pas de service. Les fonctionnaires agissent ainsi contre sa conscience ou le dévoir de sa charge pour 'faire' son travail quotidien au bureau.
En fait en suivant de près l'histoire de la Grande Ile, ce cancer rare s'est installé depuis la Monarchie Merina. Et il a traversé l'éré colonial sans gène et sans âme. C'est à partir de l'indépendance que ce cancer rare a commencé à refaire surface devant tout le monde. Mais, c'est pendant l'ére Socialiste malagasy qu'il est devenu 'vivant' et depuis aucun gouvernement n'a pu l'éliminer.
Pour renflouer les urnes lors des élections nationales, les politiques adorent scander d'éliminer cette maladie universelle qui gangrène notre société de Fihavanana solidarité à la malgache mais, il n'a jamais vraiment été inquiété de tous les actions des gouvernements succéssifs.
Les artistes ne cessent de dénoncer cette pratique universelle qui pourrit cette société déjà très fragilisée par la pauvreté. Mais, pensez-vous que la corruption n'est pas l'héritage de cette pauvreté? La prise de conscience des artistes musicaux fait bouger quelque chose dans l'administration malgache. Les artistes chanteurs ne machent pas leur mots pour crever cet abcès qui pervertit les commis de l'État. Des mots directs, parfois dur, parfois méchant sont entendus puisque les textes de musique s'addressent directement aux décideurs politiques malagasy.
Les artistes aussi craignent de leur sort parce que si la population vit dans cette pauvreté sans précédente, leur oeuvres
n'ont plus du tout de valeur artistique. Les CD et les DVD copies
s'exploseront et les artistes perdent beaucoup d'argent. Alors, cette
situation de pauvreté n'est pas du tout l'intérêt de tout le monde.
C'est la raison pour laquelle, les artistes musicaux bousculent jusqu'à
la limite du raisonable les proféssionnels de la politique Malgache.
Ainsi, Les Artistes malgaches ont toujours dénoncé des délires politiques
insolentes de nos politiques. Les artistes voyent très bien cette
société minée par la pauvreté.
Les Politiques font la sourdine
La pauvreté est lié avec ce cancer rare qu'est la corruption. C'est l'aboutissement d'une politique socio-économique qui part en dérive. Ce choix a pour but précis de garder des intérêts entre amis ou pour la famille.
Mais, les politiques vont faire semblant de repondre de cet appel de détresse des artistes juste pendant les élections nationales pour en fair un thème politique, mais après, cette reponse reste dans les tiroirs jusqu'à la prochaine élection. À Madagascar, cette mentalité politique est le visage des politiques qui sont jaloux de leur 'sièges'.
Conclusion
La musique est un outil excellent pour détruire la cancer rare de la société malgache. Mais, jusqu'à quand les politiques malagasy vont-ils faire une sourde oreille pour repondre à l'appel de détrèsse lancé par la population qui les a élu qu'ils ont en marre de cette pauvreté récurrente? N'est-il pas temps de changer de la mentalité politique pour s'occuper de son peuple? N'est-il pas temps de revoir à fond la manière de faire de la politique à Madagascar pour recommencer sur une base solide afin de donner du miel à tout le monde? Au lieu de faire toujours rouler tout le monde dans la farine en faisant croire à n'importe quoi ou prendre des gens pour des 'singes', alors qu' ils sont élus par les urnes !!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire