L'Introduction
Héritée de la musique française, le korodoño ou l'accordéon est très apprécié des musiciens malagasy contemporains. Cette appréciation se trouve dans l'utilisation du korodoño dans la musique de madagascar traditionnelle et moderne. Introduit à Madagascar en vingtième Siècles, le korodoño est un instrument de musique à la fois traditionnelle et moderne dans le paysage musical de Madagascar. Je ne peux pas me passer du korodoño dans cet analyse personnel sur la mozika malgache. Alors aujourd'hui, on va passer un coup d'oeil sur le korodoño un instrument de musique incontournable à Madagascar. L'analyse se porte sur les premiers éthnies qui l'ont utilisé ensuite, le moment de cette utilisation, enfin la raison de cette utilisation.
Le mot korodoño ou angorodao vient du mot accordéon. Je vais essayer de le définir aussi simple possible. Cet instrument de musique est classé dans la famille des vents; cet instrument à clavier, le musicien actionne le soufflet avec le mouvement de ses bras, le vent variable excite des anches libres que le clavier produit polyphonique.
La Popularité De L'Accordéon
La popularité de l'accordéon est telle dans les bals populaires français parce que l'accordéoniste peut jouer à la fois le rythme de mélodie et l'harmonie. Le korodoño a vite pris sa place au sein de la tradition musicale malgache après son introduction par les colons français. Au début ce sont les Nord de Madagascar qui utilisaient le korodoño dans tous les évenements de la socièté. En commancant par la région de Melaky, Betsiboka, Boeny, Sofia, en passant par la région de Diana et en descendant dans la région de Analanjirofo, le korodoño est presque le principale instrument de musique traditionnelle. Les Sakalava de Menabe, Boina, Antakarana, les Tsimihety l'appèlent korodoño tandis que les Betsimisaraka le nomme angorodao.
Quand les Sakalava de Menabe célèbrent le Fitampoha le bain des réliques royales tous les dix ans, ils pratiquent le korodoño dans le tromba des gens rentrés en transe car les "esprtits" des souvérains disparus communiquent avec leur peuple par l'intérmèdiaire des mpiroro le divin au centre des cérémonies et des sazoky les personnes possédées royales. Mais, on peut aussi voir l'utilisation de korodoño dans les fêtes familiales.
Quant aux Sakalava de Boina, le korodoño est joué dans le Fanompoambe la vénération des rois défunts par leur peuple en faisant un bain de relique des rois Sakalava. C'est sutout dans le tromba aussi que le korodoño est joué. Mais ici, il n'y a pas de règle précise, l'accordéoniste joue selon son feeling pour accompagner les personnes en transe. Comme à Menabe, les Sakalava du Boina aussi utilisent le korodoño dans tous les autres évenements sociaux.
Lors des Tsaboraha: fêtes familiales, famadihana retournement des morts, mariages, promotion de travail...les Tsimihety aussi jouent l'accordéon. Dans la région de Sofia, l'accordéon est presque toujours présent dans tous les évenements socio-politiques. Les Tsimihety aussi assistent au tromba mais il n'y a pas vraiment de jour bien définit. Pour appeler l'esprit, le gens chantent le hosoka en harmonisant avec le son du korodoño. Les Tsimihety respectent scrupuleusement les intérdits des tromba...
Pour les Betsimisaraka, ils vénèrent aussi les esprits des morts par le tromba. Comme les groupes éthniques cités en haut, ils jouent à l'angorodao lors des tromba et les fêtes familiales.
Comme les français en vingtième Siècles, les Malgaches ont adopté aussi le korodoño. Cet instrument seul suffit à animer les fêtes par le biais des sons qu'il produit. Générallement, l'accordéoniste n'a pas besoin d'autres instruments de musiques. L'angorodao est à la fois une voix aïgue et grâve; il est parfait pour les fêtes de masse.
La Conclusion
Désormais, si on obsèrve l'évolution de l'utilisation contemporaine du angorodao, beaucoup de musiciens malagasy le jouent. Mais le plus pércutant de tous est le Grand Rossy l'inventaire du Tapolaka. Cela n'est pas du tout étonnant car il est originaire de la région de Sofia. Et là-bas, les gens se plaisent à jouer le korodoño. En continuant notre balade musicale, les musicients du Sud aussi jouent intélligement cet instrument maintenant. J'aime bien entendre le morceau de Tioka Atimo vent du sud avec l'accordéon que les musiciens de Toliara en sont les spécialistes. L'accordéon trône dans la musique de madagascar et je salue son éternel rajeunissement.
Héritée de la musique française, le korodoño ou l'accordéon est très apprécié des musiciens malagasy contemporains. Cette appréciation se trouve dans l'utilisation du korodoño dans la musique de madagascar traditionnelle et moderne. Introduit à Madagascar en vingtième Siècles, le korodoño est un instrument de musique à la fois traditionnelle et moderne dans le paysage musical de Madagascar. Je ne peux pas me passer du korodoño dans cet analyse personnel sur la mozika malgache. Alors aujourd'hui, on va passer un coup d'oeil sur le korodoño un instrument de musique incontournable à Madagascar. L'analyse se porte sur les premiers éthnies qui l'ont utilisé ensuite, le moment de cette utilisation, enfin la raison de cette utilisation.
Le mot korodoño ou angorodao vient du mot accordéon. Je vais essayer de le définir aussi simple possible. Cet instrument de musique est classé dans la famille des vents; cet instrument à clavier, le musicien actionne le soufflet avec le mouvement de ses bras, le vent variable excite des anches libres que le clavier produit polyphonique.
La Popularité De L'Accordéon
La popularité de l'accordéon est telle dans les bals populaires français parce que l'accordéoniste peut jouer à la fois le rythme de mélodie et l'harmonie. Le korodoño a vite pris sa place au sein de la tradition musicale malgache après son introduction par les colons français. Au début ce sont les Nord de Madagascar qui utilisaient le korodoño dans tous les évenements de la socièté. En commancant par la région de Melaky, Betsiboka, Boeny, Sofia, en passant par la région de Diana et en descendant dans la région de Analanjirofo, le korodoño est presque le principale instrument de musique traditionnelle. Les Sakalava de Menabe, Boina, Antakarana, les Tsimihety l'appèlent korodoño tandis que les Betsimisaraka le nomme angorodao.
Quand les Sakalava de Menabe célèbrent le Fitampoha le bain des réliques royales tous les dix ans, ils pratiquent le korodoño dans le tromba des gens rentrés en transe car les "esprtits" des souvérains disparus communiquent avec leur peuple par l'intérmèdiaire des mpiroro le divin au centre des cérémonies et des sazoky les personnes possédées royales. Mais, on peut aussi voir l'utilisation de korodoño dans les fêtes familiales.
Quant aux Sakalava de Boina, le korodoño est joué dans le Fanompoambe la vénération des rois défunts par leur peuple en faisant un bain de relique des rois Sakalava. C'est sutout dans le tromba aussi que le korodoño est joué. Mais ici, il n'y a pas de règle précise, l'accordéoniste joue selon son feeling pour accompagner les personnes en transe. Comme à Menabe, les Sakalava du Boina aussi utilisent le korodoño dans tous les autres évenements sociaux.
Lors des Tsaboraha: fêtes familiales, famadihana retournement des morts, mariages, promotion de travail...les Tsimihety aussi jouent l'accordéon. Dans la région de Sofia, l'accordéon est presque toujours présent dans tous les évenements socio-politiques. Les Tsimihety aussi assistent au tromba mais il n'y a pas vraiment de jour bien définit. Pour appeler l'esprit, le gens chantent le hosoka en harmonisant avec le son du korodoño. Les Tsimihety respectent scrupuleusement les intérdits des tromba...
Pour les Betsimisaraka, ils vénèrent aussi les esprits des morts par le tromba. Comme les groupes éthniques cités en haut, ils jouent à l'angorodao lors des tromba et les fêtes familiales.
Comme les français en vingtième Siècles, les Malgaches ont adopté aussi le korodoño. Cet instrument seul suffit à animer les fêtes par le biais des sons qu'il produit. Générallement, l'accordéoniste n'a pas besoin d'autres instruments de musiques. L'angorodao est à la fois une voix aïgue et grâve; il est parfait pour les fêtes de masse.
La Conclusion
Désormais, si on obsèrve l'évolution de l'utilisation contemporaine du angorodao, beaucoup de musiciens malagasy le jouent. Mais le plus pércutant de tous est le Grand Rossy l'inventaire du Tapolaka. Cela n'est pas du tout étonnant car il est originaire de la région de Sofia. Et là-bas, les gens se plaisent à jouer le korodoño. En continuant notre balade musicale, les musicients du Sud aussi jouent intélligement cet instrument maintenant. J'aime bien entendre le morceau de Tioka Atimo vent du sud avec l'accordéon que les musiciens de Toliara en sont les spécialistes. L'accordéon trône dans la musique de madagascar et je salue son éternel rajeunissement.
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