L'Introduction
La musique est inséparable de la vie des Malgaches. Comme toutes musiques exotiques, cela peut obtenir un énorme succès, ou bien cela peut juste froler l'esprit et balayer par un autre vent musical. Ce que je veux dire par là c'est la musique est un art. Il n'y a ni bon ni mauvais art. Il y a j'aime ou je n'aime pas... Les gens ils ont toujours tendances à prendre l'art comme une sorte de morale qui mène à un goût d'action vers le bon ou le mauvais. Deux voies pilliers de musique Malagasy sont le thême de notre discussion aujourd'hui dans la musique de madagascar.
Le Premier De Musique Malagasy
Allons voir d'abords le premier pillier de musique Malagasy. En aborgdant de ce sujet de près, je m'oriente en premier lieu directement de notre légation vers les anciens qui survit depuis des siècles. Ici, je ne me contente pas seulement de la musique mais de tout. Tout ce qui touche à la vie quotidienne. Pourtant, notre discussion n'aura pas de fin si je vais m'étaler sur toutes les instructions légées par les anciens à la nouvelle génération. Alors, je vais me contenter de me glisser vers notre sujet fétiche la musique Malagasy. Traditionnellement et musicalement, ce sont les anciens ou les grands frères qui enseignent un instrument ou le solfège aux jeunes ou petits frères ou élèves. Cette tradition est toujours valable actuellement. Si on ratisse large à Madagascar, dans toutes les grandes villes ou les campagnes, beaucoups de jeunes musiciens ont obtenus leurs instructions de la part des grands frères ou des anciens; beaucoups d'artistes ont reçu des leçons de danses ou de chants de la part des vieux ou des vieilles. Cette coutume reste très visible même si nous vivions maintenant au siècle de la technologie. Les raisons de cette légation sont beaucoup. La socièté accèpte cette partage de savoir pour perpetuer une culture ou une identité. Cela peut se faire dans une famille ou dans un groupe éthnie ou dans le quartier. Cette coutume de la musique malgache est très visible sur les musiques traditionnelles à savoir les Hira-gasy, le Vako-drazana et la plupart de tous les rythmes à la campagne que moi je ne peux citer ici. Pour être plus précis, étudier un instrument de musique ou des instruments musicaux, étudier les danses traditionnelles, apprendre les chansons coutumières, tout cela se fait par le tàs. Une autre raison, c'est la limitation des écoles de musique uniquement dans les grandes villes. Les écoles de musique dispensent des cours musicaux mais, leur capacité d'aboutir jusque dans les campagnes est très limitée. L'autre raison c'est aussi la pauvreté des Malgaches dans les campagnes pour aller en ville afin d'assister à des cours de musiques et danses. Cet problème touche pratiquement toutes les vingt-deux régions de Madagascar. Tous les régimes succéssifs ont essayé à leur façon d'enrayer ce fleau mais, au fil du temps, la faussé entre les citadins et les campagnards c'est largement aggrandi. Mais pour rajouter à toutes les raisons que j'ai invoqué, les campagnes malgaches préfèrent apprendre quelque chose par une personne qu'ils connaissent. Cette façon de se méfier à des citadins sur un enseignement facilement acquis au village date depuis l'arrivée des Français à Madagscar. Cela ne vaut pas dire que les villageois Malgaches ne prennent pas les instructions des gens viennent du même village et qui vivent en ville et qui reviennent à la campagne. Qu'on soit bien clair!
Allons voir d'abords le premier pillier de musique Malagasy. En aborgdant de ce sujet de près, je m'oriente en premier lieu directement de notre légation vers les anciens qui survit depuis des siècles. Ici, je ne me contente pas seulement de la musique mais de tout. Tout ce qui touche à la vie quotidienne. Pourtant, notre discussion n'aura pas de fin si je vais m'étaler sur toutes les instructions légées par les anciens à la nouvelle génération. Alors, je vais me contenter de me glisser vers notre sujet fétiche la musique Malagasy. Traditionnellement et musicalement, ce sont les anciens ou les grands frères qui enseignent un instrument ou le solfège aux jeunes ou petits frères ou élèves. Cette tradition est toujours valable actuellement. Si on ratisse large à Madagascar, dans toutes les grandes villes ou les campagnes, beaucoups de jeunes musiciens ont obtenus leurs instructions de la part des grands frères ou des anciens; beaucoups d'artistes ont reçu des leçons de danses ou de chants de la part des vieux ou des vieilles. Cette coutume reste très visible même si nous vivions maintenant au siècle de la technologie. Les raisons de cette légation sont beaucoup. La socièté accèpte cette partage de savoir pour perpetuer une culture ou une identité. Cela peut se faire dans une famille ou dans un groupe éthnie ou dans le quartier. Cette coutume de la musique malgache est très visible sur les musiques traditionnelles à savoir les Hira-gasy, le Vako-drazana et la plupart de tous les rythmes à la campagne que moi je ne peux citer ici. Pour être plus précis, étudier un instrument de musique ou des instruments musicaux, étudier les danses traditionnelles, apprendre les chansons coutumières, tout cela se fait par le tàs. Une autre raison, c'est la limitation des écoles de musique uniquement dans les grandes villes. Les écoles de musique dispensent des cours musicaux mais, leur capacité d'aboutir jusque dans les campagnes est très limitée. L'autre raison c'est aussi la pauvreté des Malgaches dans les campagnes pour aller en ville afin d'assister à des cours de musiques et danses. Cet problème touche pratiquement toutes les vingt-deux régions de Madagascar. Tous les régimes succéssifs ont essayé à leur façon d'enrayer ce fleau mais, au fil du temps, la faussé entre les citadins et les campagnards c'est largement aggrandi. Mais pour rajouter à toutes les raisons que j'ai invoqué, les campagnes malgaches préfèrent apprendre quelque chose par une personne qu'ils connaissent. Cette façon de se méfier à des citadins sur un enseignement facilement acquis au village date depuis l'arrivée des Français à Madagscar. Cela ne vaut pas dire que les villageois Malgaches ne prennent pas les instructions des gens viennent du même village et qui vivent en ville et qui reviennent à la campagne. Qu'on soit bien clair!
Le Deuxième Pillier De La Musique
Abordons maintenant le deuxième pilliers de musique malagasy. C'est autre pilier de musique malagasy se passe en ville. La plupart de toutes les écoles de lamozika sont arrivées avec la colonisation française au début du vingtième siècles. La plupart des grandes ville à Madagascar ont des écoles de Musiques et danses. La principale mission de l'école c'est l'instruction de solfège à partir d'un instrument de musique et la délivrance d'une étude de danse traditionnelle Malagasy. Aussi, il ne faut pas oublier que presque toutes les écoles sont dirigées par des privées. Donc, les éleves doivent s'attendre à payer une écolage. Pourtant, il y a des écoles qui inclusent la musique et danse dans leur programme scolaire. Cela est très aventageux pour l'élève parce que à part les matières traditionnelles que l'élève apprend tous les jours, il reçoit aussi une leçon de musique. Voyez bien que cet autre pillier de musique de madagascar réhausse entièrement le niveau de la connaissance acquise par l'élève en matière de lamozika. L'élève peut devenir un professionnel ou bien un simple passionné de chants ou d'instruments de lamozika. Cet investissement peut retourner facilement si le futur artiste deviendra pro. Mais cela ne veut pas dire que l'autre personne qui ne vit pas par la musique va perdre de l'argent et du temps pour étudier la piano ou la guitar. La musique aide scientifiquement à constituer une connaissance déjà acquise par une personne. Cela veut dire que cette personne même s'il est amateur de la musique, il s'épanouit sur son travail qu'il soit docteur ou autre.
La Conclusion
Pour finir cette discussion, les deux voies pilliers de musique malagasy sont l'apprentissage traditionnel sur le tàs effectué par l'ainé ou le grand frère ou l'ancien. Le deuxième pillier c'est les instructions délivrées par les écoles de musique dans les grandes villes. Actuellement, les Malgaches utilisent toujours ces deux pilliers. Les traditions musicales combinées avec la modernité apportée par le vent de changement mondial redonnent toujours un nouveau souffle sans faille à la culture Malgache.
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